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Biographie de Kasabian
Ces cinq énergumènes forment un gang de footeux vivant en communauté aux rythmes de fiestas aussi régulières qu'impromptues. Dans ces conditions «idéales», pas étonnant qu'ils soient parvenus à digérer et à synthétiser quinze ans de brit-pop et d'indie dance, ne retenant que la quintessence de ces sons typiquement british (la puissance et le groove de Primal Scream, le don pour la mélodie d'Oasis et l'esprit festif des Happy Mondays). La traditionnelle attitude désinvolte et volontairement agaçante étant bien entendu gracieusement livrée dans ce package... Avec ses rythmiques guerrières faisant le grand écart entre hip hop et big beat et ses mélodies accrocheuses obscurcies par des sonorités électro-synthétiques, Kasabian propose une véritable collection d'hymnes destinés aux clubbeurs ouverts d'esprit. (dossier de presse Trans Musicales 2004)
Avis sur Kasabian
Kasabian, un vrai grand groupe
Quand un groupe Anglais, réussi à vous livrer un set où 90% des chansons sont hurlées à tue tête par le public, vous pouvez dire que c’est un grand groupe. Voilà à quoi on a assisté Vendredi 7 Novembre, au Zénith de Paris, un concert de british, devenu légende.
Les Kasabian sont officiellement cinq, mais sept sur scène. Parmi lesquels un trompettiste, un batteur, un bassiste, un pianiste, un chanteur et deux guitaristes. Chaque instrument est important, grâce à cette collaboration, on assiste a de très jolies enchainements durant tout le concert. Ca commencera avec les deux premiers titres du dernier album, pour un début de concert optimal. (Shiva et Bumblebeee)
En prime, quelques surprises…
L’ambiance passe à son optimal en quelques secondes, et ne redescendra pas. Tous les plus gros titres de Kasabian sont enchainés à une vitesse hallucinante. On passe de Shoot the Runner à Underdog en quelques notes. Puis Eez-eh, puis Club Foot… Le concert ne se donne pas de pauses. L’énergie des artistes mêlés à une ambiance impressionnante, dans un Zénith blindé, nous donne une collaboration parfaite entre scène et fosse. Dans les gradins, tout le monde est débout du début à la fin. Les gens applaudissent et se prennent aux jeux du chanteur.
Mais ce concert nous réservera aussi quelques surprises. Durant le set, on aura le plaisir d’entendre une reprise de la mythique « When you’re strange », puis une autre reprise, de FatBoy Slim cette fois ci, avec la chanson Praise you. Un mélange de genre étonnant, mais qui convient à l’ambiance du concert. Quelques touches électro house, mêlés aux lasers en mouvement, donnaient une impression de club au Zénith. Kasabian a su se diversifier aux fils des années en adoptant les nouveaux styles musicaux en vogues, tout en gardant leur empreinte rock.
On terminera le concert avec le morceau Stevie, Vlad the Impaler puis finir sur L.S.F. Un vrai final qui marquera les esprits, puisque le public continuera à hurler le refrain dans la salle, et jusque dans le métro. Un vrai grand groupe, aisément comparable à des mythes tel que Oasis. Kasabian a su se diversifier aux fils des années en adoptant les nouveaux styles musicaux en vogues, tout en gardant leur empreinte rock british.
Maxime Fremy
Reportconcert.fr
Enorme!! c'est un groupe super est plein de punch même si vous ne connaissez pas se groupe c'est a voir en concert, mon petit regret c'est que les gens sont complétement fous !!!
